Acte 3 d’une négociation suspens sur fond de crise ! Chacun des protagonistes a pris ses responsabilités et le projet d’accord remis sur table le 15 avril démontre d’une volonté des partenaires sociaux de réussir.
Par une série de solutions adaptables aux diverses situations : jeunes, chômeurs de longue durée, cadres, destinées à 360 000 demandeurs d’emploi.
Par des financements partagés sur les formations rémunérées ou l’aide exceptionnelle créée pour 6 mois faute de mesures actives.
Par des financements répartis pour 286 millions pour l’État ; 286 pour l’UNEDIC ; 133 pour le FPSPP ; 50 pour l’APEC et 133 pour les régions.
La CFE-CGC est satisfaite de ce consensus, mais rappelle que l‘efficacité des mesures reposera sur la qualité des formations : le choix des reconversions ; la justesse de l’accompagnement et le choix des métiers et bien entendu des moyens déployés en urgence par Pôle Emploi.
C’est un compromis pour un retour dynamique à l’emploi. Cela en vaut la peine !
Service communication CFE-CGC